LA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST (Collection Anne-Catherine Emmerich t. 3) Anne-Catherine Emmerich pdf español

LA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST (Collection Anne-Catherine Emmerich t. 3)


LA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST (Collection Anne-Catherine Emmerich t. 3) Anne-Catherine Emmerich pdf español - LA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST, Anne Catherine Emmerich.

Toutes les fois qu'en méditant sur la douloureuse Passion de Notre-Seigneur, j'entends cet effroyable cri des Juifs :

« Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » !

… Ils avaient bien pris toutes leurs précautions pour ne pas contracter d'impuretés extérieures et leur âme était toute souillée par la colère, la haine et l'envie.

« Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » !

Avaient-ils dit, et par ces paroles ils avaient accompli la cérémonie, mis la main du sacrificateur sur la tête de la victime.

Ici se séparaient les deux routes qui menaient à l'autel de la loi et à l'autel de la grâce : Pilate, le païen orgueilleux et irrésolu, tremblant devant Dieu et adorant les idoles, le courtisan du monde, l'esclave de la mort, triomphant dans le temps jusqu'à ce qu'arrive le terme de la mort éternelle, Pilate prit entre les deux et s'en revint dans son palais, entouré de ses officiers et de ses gardes, précédé d'un trompette.

Le jugement inique fut rendu vers dix heures du matin, suivant notre manière de compter…

…. Jésus, image vivante de la douleur, fut étendu par les archers sur la croix où il était allé se placer de lui-même.

Ils le renversèrent sur le dos, et, ayant tiré son bras droit sur le bras droit de la croix, ils le lièrent fortement : puis un d'eux mit le genou sur sa poitrine sacrée ; un autre tint ouverte sa main qui se contractait ; un troisième appuya sur cette main pleine de bénédiction un gros et long clou et frappa dessus à coups redoublés avec un marteau de fer.

Un gémissement doux et clair sortit de la bouche du Sauveur : son sang jaillit sur les bras des archers.

Les liens qui retenaient la main furent déchirés et s'enfoncèrent avec le clou triangulaire dans l'étroite ouverture.

J'ai compté les coups de marteau, mais j'en ai oublié le nombre.

La sainte Vierge gémissait faiblement et semblait avoir perdu connaissance : Madeleine était hors d'elle-même.

Les vilebrequins étaient de grands morceaux de fer de la forme d'un T : il n'y entrait pas de bois.

Les grands marteaux aussi étaient en fer et tout d'une pièce avec leurs manches : ils avaient à peu près la forme qu'ont les maillets avec lesquels nos menuisiers frappent sur leurs ciseaux.

Les clous, dont l'aspect avait fait frissonner Jésus, étaient d'une telle longueur que, si on les tenait en fermant le poignet, ils le dépassaient d'un pouce de chaque côté, ils avaient une tête plate de la largeur d'un écu…

… Son visage, avec l'horrible couronne avec le sang qui remplissait ses yeux, sa bouche entrouverte, sa chevelure et sa barbe, s'était affaissé vers sa poitrine, et plus tard il ne put relever la tête qu'avec une peine extrême, à cause de la largeur de la couronne.

Son sein était tout déchiré ; ses épaules, ses coudes, ses poignets tendus jusqu'à la dislocation ; le sang de ses mains coulait sur ses bras.

Sa poitrine remontait et laissait au-dessous d'elle une cavité profonde ; le ventre était creux et rentré.

Ses cuisses et ses jambes étaient horriblement disloquées comme ses bras ; ses membres, ses muscles, sa peau déchirée avaient été si violemment distendus, qu'on pouvait compter tous ses os ; le sang jaillissait autour du clou qui perçait ses pieds sacrés et arrosait l'arbre de la croix ; son corps était tout couvert de plaies, de meurtrissures, de taches noires, bleues et jaunes ; ses blessures avaient été rouvertes par la violente distension des membres et saignaient par endroits ; son sang, d'abord rouge, devint plus tard pâle et aqueux, et son corps sacré toujours plus blanc : il finit par ressembler à de la chair épuisé de sang…

…Des grâces de ce genre nous sont très souvent accordées à nous-mêmes par l'effet de nos prières ou de celles d'autrui, mais parce que nous ne voyons pas des yeux du corps comment elles arrivent, nous n'en sommes pas frappés ou nous n'y voyons rien de merveilleux.

Rang parmi les ventes Amazon: #118167 dans eBooksPublié le: 2014-11-03Sorti le: 2014-11-03Format: Ebook KindlePrésentation de l'éditeurLA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST, Anne Catherine Emmerich.Toutes les fois qu'en méditant sur la douloureuse Passion de Notre-Seigneur, j'entends cet effroyable cri des Juifs : « Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » ! … Ils avaient bien pris toutes leurs précautions pour ne pas contracter d'impuretés extérieures et leur âme était toute souillée par la colère, la haine et l'envie. « Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » !Avaient-ils dit, et par ces paroles ils avaient accompli la cérémonie, mis la main du sacrificateur sur la tête de la victime. Ici se séparaient les deux routes qui menaient à l'autel de la loi et à l'autel de la grâce : Pilate, le païen orgueilleux et irrésolu, tremblant devant Dieu et adorant les idoles, le courtisan du monde, l'esclave de la mort, triomphant dans le temps jusqu'à ce qu'arrive le terme de la mort éternelle, Pilate prit entre les deux et s'en revint dans son palais, entouré de ses officiers et de ses gardes, précédé d'un trompette. Le jugement inique fut rendu vers dix heures du matin, suivant notre manière de compter……. Jésus, image vivante de la douleur, fut étendu par les archers sur la croix où il était allé se placer de lui-même. Ils le renversèrent sur le dos, et, ayant tiré son bras droit sur le bras droit de la croix, ils le lièrent fortement : puis un d'eux mit le genou sur sa poitrine sacrée ; un autre tint ouverte sa main qui se contractait ; un troisième appuya sur cette main pleine de bénédiction un gros et long clou et frappa dessus à coups redoublés avec un marteau de fer. Un gémissement doux et clair sortit de la bouche du Sauveur : son sang jaillit sur les bras des archers. Les liens qui retenaient la main furent déchirés et s'enfoncèrent avec le clou triangulaire dans l'étroite ouverture. J'ai compté les coups de marteau, mais j'en ai oublié le nombre. La sainte Vierge gémissait faiblement et semblait avoir perdu connaissance : Madeleine était hors d'elle-même.Les vilebrequins étaient de grands morceaux de fer de la forme d'un T : il n'y entrait pas de bois. Les grands marteaux aussi étaient en fer et tout d'une pièce avec leurs manches : ils avaient à peu près la forme qu'ont les maillets avec lesquels nos menuisiers frappent sur leurs ciseaux. Les clous, dont l'aspect avait fait frissonner Jésus, étaient d'une telle longueur que, si on les tenait en fermant le poignet, ils le dépassaient d'un pouce de chaque côté, ils avaient une tête plate de la largeur d'un écu… … Son visage, avec l'horrible couronne avec le sang qui remplissait ses yeux, sa bouche entrouverte, sa chevelure et sa barbe, s'était affaissé vers sa poitrine, et plus tard il ne put relever la tête qu'avec une peine extrême, à cause de la largeur de la couronne. Son sein était tout déchiré ; ses épaules, ses coudes, ses poignets tendus jusqu'à la dislocation ; le sang de ses mains coulait sur ses bras. Sa poitrine remontait et laissait au-dessous d'elle une cavité profonde ; le ventre était creux et rentré. Ses cuisses et ses jambes étaient horriblement disloquées comme ses bras ; ses membres, ses muscles, sa peau déchirée avaient été si violemment distendus, qu'on pouvait compter tous ses os ; le sang jaillissait autour du clou qui perçait ses pieds sacrés et arrosait l'arbre de la croix ; son corps était tout couvert de plaies, de meurtrissures, de taches noires, bleues et jaunes ; ses blessures avaient été rouvertes par la violente distension des membres et saignaient par endroits ; son sang, d'abord rouge, devint plus tard pâle et aqueux, et son corps sacré toujours plus blanc : il finit par ressembler à de la chair épuisé de sang… …Des grâces de ce genre nous sont très souvent accordées à nous-mêmes par l'effet de nos prières ou de celles d'autrui, mais parce que nous ne voyons pas des yeux du corps comment elles arrivent, nous n'en sommes pas frappés ou nous n'y voyons rien de merveilleux. Présentation de l'éditeurLA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST, Anne Catherine Emmerich.Toutes les fois qu'en méditant sur la douloureuse Passion de Notre-Seigneur, j'entends cet effroyable cri des Juifs : « Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » ! … Ils avaient bien pris toutes leurs précautions pour ne pas contracter d'impuretés extérieures et leur âme était toute souillée par la colère, la haine et l'envie. « Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » !Avaient-ils dit, et par ces paroles ils avaient accompli la cérémonie, mis la main du sacrificateur sur la tête de la victime. Ici se séparaient les deux routes qui menaient à l'autel de la loi et à l'autel de la grâce : Pilate, le païen orgueilleux et irrésolu, tremblant devant Dieu et adorant les idoles, le courtisan du monde, l'esclave de la mort, triomphant dans le temps jusqu'à ce qu'arrive le terme de la mort éternelle, Pilate prit entre les deux et s'en revint dans son palais, entouré de ses officiers et de ses gardes, précédé d'un trompette. Le jugement inique fut rendu vers dix heures du matin, suivant notre manière de compter……. Jésus, image vivante de la douleur, fut étendu par les archers sur la croix où il était allé se placer de lui-même. Ils le renversèrent sur le dos, et, ayant tiré son bras droit sur le bras droit de la croix, ils le lièrent fortement : puis un d'eux mit le genou sur sa poitrine sacrée ; un autre tint ouverte sa main qui se contractait ; un troisième appuya sur cette main pleine de bénédiction un gros et long clou et frappa dessus à coups redoublés avec un marteau de fer. Un gémissement doux et clair sortit de la bouche du Sauveur : son sang jaillit sur les bras des archers. Les liens qui retenaient la main furent déchirés et s'enfoncèrent avec le clou triangulaire dans l'étroite ouverture. J'ai compté les coups de marteau, mais j'en ai oublié le nombre. La sainte Vierge gémissait faiblement et semblait avoir perdu connaissance : Madeleine était hors d'elle-même.Les vilebrequins étaient de grands morceaux de fer de la forme d'un T : il n'y entrait pas de bois. Les grands marteaux aussi étaient en fer et tout d'une pièce avec leurs manches : ils avaient à peu près la forme qu'ont les maillets avec lesquels nos menuisiers frappent sur leurs ciseaux. Les clous, dont l'aspect avait fait frissonner Jésus, étaient d'une telle longueur que, si on les tenait en fermant le poignet, ils le dépassaient d'un pouce de chaque côté, ils avaient une tête plate de la largeur d'un écu… … Son visage, avec l'horrible couronne avec le sang qui remplissait ses yeux, sa bouche entrouverte, sa chevelure et sa barbe, s'était affaissé vers sa poitrine, et plus tard il ne put relever la tête qu'avec une peine extrême, à cause de la largeur de la couronne. Son sein était tout déchiré ; ses épaules, ses coudes, ses poignets tendus jusqu'à la dislocation ; le sang de ses mains coulait sur ses bras. Sa poitrine remontait et laissait au-dessous d'elle une cavité profonde ; le ventre était creux et rentré. Ses cuisses et ses jambes étaient horriblement disloquées comme ses bras ; ses membres, ses muscles, sa peau déchirée avaient été si violemment distendus, qu'on pouvait compter tous ses os ; le sang jaillissait autour du clou qui perçait ses pieds sacrés et arrosait l'arbre de la croix ; son corps était tout couvert de plaies, de meurtrissures, de taches noires, bleues et jaunes ; ses blessures avaient été rouvertes par la violente distension des membres et saignaient par endroits ; son sang, d'abord rouge, devint plus tard pâle et aqueux, et son corps sacré toujours plus blanc : il finit par ressembler à de la chair épuisé de sang… …Des grâces de ce genre nous sont très souvent accordées à nous-mêmes par l'effet de nos prières ou de celles d'autrui, mais parce que nous ne voyons pas des yeux du corps comment elles arrivent, nous n'en sommes pas frappés ou nous n'y voyons rien de merveilleux.

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Details of LA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST (Collection Anne-Catherine Emmerich t. 3)

Le Titre Du LivreLA PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST (Collection Anne-Catherine Emmerich t. 3)
AuteurAnne-Catherine Emmerich
Vendu parLes Editions PEL
Livres FormatEbook Kindle
Nombre de pages576 pages
EditeurLes Editions PEL
Nom de fichierla-passion-de-notre-seigneur-jésus-christ-collection-anne-catherine-emmerich-t-3.pdf

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